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Lecture proposée : 1Corinthiens 15.20-28

Bien-aimés, nous sommes maintenant enfants de Dieu, et ce que nous serons n’a pas encore été manifesté ; mais nous savons que lorsque que cela sera manifesté, nous serons semblables à Lui, parce que nous le verrons tel qu’il est.
1 Jean 3.2

Essentiel (17)
L’ULTIME ESPÉRANCE

Aux Philippiens, l’apôtre Paul mentionnait qu’à sa venue, le Seigneur changera nos corps de misère en corps de gloire semblable au sien. Jean ne dit pas autre chose,  même s’il ne réduit pas la transformation à notre corps ! Mais surtout, il rattache cette réelle métamorphose à une réalité qui dépasse toutes les autres : nous verrons Dieu tel qu’Il est !

Si le cœur du chrétien est tourné vers les promesses, est-ce pour être enfin délivré des deuils, des douleurs, de la mort ? Sans doute, mais c’est bien plus encore le désir de voir enfin face à face, notre Sauveur bien-aimé et vivre enfin avec Lui d’une communion totale.

Le but final de toute l’histoire de l’humanité, l’objectif ultime de l’œuvre de la rédemption, du salut, est mentionné en 1 Corinthiens 15.25 à 28. Si le Christ doit régner pour mettre sous ses pieds tous ses ennemis et, finalement, détruire la mort ; s’il doit ensuite remettre le royaume à Dieu son Père, c’est écrit Paul, afin que Dieu soit tout en tous.

Ici encore, nous ne pouvons comprendre tout ce que signifie cette expression. Mais il est certain qu’elle parle de plénitude, d’absolu, de totale et parfaite réconciliation.

Au commencement, Dieu créa… pour qu’à la fin, Dieu soit tout en tous.